9.12.05

Nous resterons amis... chemin de misère...

2186

L'ultime négociation interieur est la violence. Sinon, le calme absolue.
Ce qui pouse Ouékoumène à combatre la violence est sa propre violence.
Le flux interieur est:
L'humanisme succite une forme de méchanceté préventive. Et Ouékoumène, Version 16 avait voulue changer les choses, tout comme les fondateur de Ouékoumène, Slamuit et autre Spinétas, le programme voulait s'auto mettre à jour.
Il considérait que les société du XXe sciècle se basaient sur des environements miroitant la vie sans son sens primitif:
la violence.
Le problème était que cette violence avait amenée Ouékoumène. Et le raisonement de Ouékoumène se proclamait en révolution car en opposition avec ses origines; humaines.
L'humanisme agressif était une néccéssité donc.

Gabrielle sortait de la cave et pensait au comuniqué retrouver par Clovis, son programme de recherche intelligente d'informations.
Montant les marches de zinc, chacune lui soulevait l'idée que quelque choses allait se passer. Sa maison informatisé semblait lui chuchoter quelque choses, mais elle s'accordat sur sa vieille peure de l'obscuritée et déduisit que cela n'avait pas de sens.
Même Clovis, c'était comporté de manière non ProToCoLaire. Il luis avait envoyé, dicté, projeté le message dans la cave. Comme une allarme interieur, une petite goutellette de sueure sur le front de Gabrielle lui remis les idées en place. Cette information l'avait ramener à quelque chose d'enfouie au plus proffond d'elle même.
La porte de la cuisine s'ouvrait, et encore, au plus petit coin de son être, de sa pensée, s'éveillait avec les néons l'idée d'une "panne" ? Clovis avait envoyé les méssages en même temps, et s'était tû. Normalement, il commentait, avec toute son inteligence précommandé. Mais la rien, et sur la table de la cuisine, le point de projection semblait avoir changer. La diffusion du logo de Ouékoumène semblait, comment dire, légèrement sallie. Il s'était passé quelque chose dans le réseaux. Le téléprojectophone éclaira l'écrant du point de projection.
Communication electronique dérivée...
Chargement du module d'extenssion de fuseaux horaires...
Accepter la communication ?
Dériver sur le répondeur holgramophonique ?
Proposer de rappeller dans quelques minutes ?
Que désirs tu Gabrielle ?
Clovis s'était comme réveillé d'un sursaut d'égarement.
- Qui est-ce?
- Je ne sais pas, j'ai l'impression que c'est un correspondant caché.
- Essai de trouver son adresse IP. Et simmultanément, dérive ses paquets de réception pour qu'il ne se doute de rien. L'oppération devrait te prendre quelquues seconde. Ensuite, définit un chemin pour mon adresse IP; ce qui permettrat d'avoir l'information que je veux. Qui est-ce?
- En cours d'execussion de commande...
- Je ne sais vraiment pas, j'ai l'impression que c'est un correspondant caché.
- Bon, laisse tombé et réponde, je prend la communication.
Gabrielle n'aimait pas les ordinateur. Dès qu'elle le pouvait, elle les forcaient à se laissés commander plutôt que de leurs laisser l'initiative. Mais elle utilisait Clovis depuis déja quelques années et elle se demandait comment serait la vie sans assistant personelle.
- Allo ?
- Bonjour, Gabrielle Crianthias ?
- Heu, oui, plutôt Criantès. Qui êtes vous.
- Excusez-moi, je n'ai pas beaucoup de temps et laisser moi vous dire quelque chose. Ne coupez pas s'il vous plais.
Gabrielle se souvenait qu'elle avait étée perturbé dans l'escalier de la cave et se dit que l'odeur du zinc l'avait certainement enquise à une sorte d'engoise.
- Oui, mais, que puis-je faire pour vous ? Je ne comprend pas, je n'ai pas de temps non-plus...
- Bien, le sol de votre immeuble vas trembler ce soir. Très bientôt. Vous DEVEZ sortir le plus calmement et le plus tôt possible. Nous devons vous informer, notre assistant personel à détécter une corruption dans le systeme de commande du niveaux hydrolique des fondations de votre immeuble. Le temps presse et nous somme à coup sure que l'immeuble risque de subir quelques défformation dans sa stucture, et dans son programme de gestion des nanostructures. Je travail à la commission de programmation des envireonements énergétiques et faites moi confiance. Un équipe de soutient est au dehors de votre batiment.
- Ah bon, mais, ok, je sort. Et elle sortit rapidement.
Gabrielle rentrait dans l'assensseure et l'émission du soir était visionnable sur le miroir réfractovisuel. Ouékoumène avait aujourd'hui amener 956 terroriste hors des limites de la citée. Gabrielle se demandait à tout cela tenait. Elle ne suivait plus l'émission obligatoire depuis déjà quelques jours et s'était enffermée dans la cave, senssée être coupée du monde. Senssée être coupée des resaux...
Lorsque la porte de l'assensceure s'ouvrit, le miroir réfractovisuel projetat dans le hall d'entrée la continuitée de l'émission qui suivait le regard de Gabrielle sur les parois de l'immeuble. Ouékoumène avait une stratégie, aprenait-on ! pour faire sortir les non-citoyen de la cité.
Arrivée devant l'immeuble, elle découvrit se trois co-habitants et leurs transmit un sourir cordiale avec son assistant personelle qui projettait continuellement au dessu d'elle un smilley représentatif de ce qu'elle voulais communiquer.
Le "voisins" regardait dans sa direction. A ce môment, elle se dit que le zinc avait peut-être une odeure au final. Le petite peure revint doucement. L'immeuble disparut.
Sur l'espace atribué au batiment, un écran éléctrostatique tronait avec le logo tridimentionelle. Dans les immeuble voisin, des currieux furretaient de craintif regard vers la scène intrigante.
Rien.
Puis.

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L'ultime négociation interieur est la violence. Sinon, le calme absolue.
Ce qui pouse Ouékoumène à combatre la violence est sa propre violence.

Le message fût lu par Clovis. Seulement, sa voix avait changée, maintenant les armoniques métaliques les plus violentes firrents vibrer le coeur de Gabrielle. Elle tomba par-terre. Et elle se souvenait de l'odeur du zinc, de la voix métalique, de l'obscuritée dans la cave. Losrqu'elle se réveillait, deux hommes était face à elle. Ils étaient habillés de blanc. Elle était nue, sous une robe blanche, dans un lit dont le draps verts, réfléchissaient la lumière d'un projecteur.

-Que se passe-t-il ?
Tam ta da tin mmmmm.... Oékoum..... Vote...z.....
-Elle délire. Bon, tu as déjà vu ça toi?
-Non.
-Mais c'est fou. Je crois qu'il faudrait qu'on en parle a quelqu'un.
-Non, tais toi. C'est la première survivante à une attaque micro-atomique non humainement destructrive.
-Et alors?
-Et bien, nigo, si tu avait bien revu tes cours; tu saurais ce que c'est.
-Je sais ce que c'est!
-Non!
-Mais si.
-On ne survit pas à une attaque micro-atomique non humainement destructive.
-Ah bon?
La lumière s'éteignat.

- Estelle? Estelle? Estèèlle?
Dans la tête de Gabrielle, la voix de Clovis lui chuchotait se nom.
Elle se santait seule, à nouveaux, comme dans la cave. L'odeur de zinc était là. Elle n'arrivait pas à reprendre consience et le savait. Lorsqu'elle ouvrit de nouveau les yeux, les deux homme étatient toujour là, eux aussi.
- Quoi? Qu'est-ce qu'il y a? demandait Gabrielle. Elle avait peure.
-Ne vous inquiétez pas, ça va aller. Accrochez vous.
La lumière s'étaignat.

_ Estelle!
LA voix métallique était là. PArtout, en elle.
Et elle ouvrit les yeux. Ouékoumène se projettait devant les yeux de sa voisine de chambre.
Ouékoumène comptait maintenant 16956 terroristes arrêtés. Avant la fin de la décénie; Ouékoumène devait atteindre la limite des 20 000. Gabrielle ne comprenait plus Ouékoumène.
-Mais comment pouvez-vous regardez ça? Dit-elle à sa voisine.
-C'est obligatoire. Vous êtes folle de dire ça. Regardez, nous allons voter dans dix minutes.
-Non merci, je suis en convalescence. Nous ne somme tout de même pas obligés de vottez? ici!
-Heu non, mais bon, c'est normale après tout.
-Ah bon.

La lumière s'étaignat.
Et oui, peuple Ouékoumène, Citoyens Ouékoumène....
Gabrielle se sentait...
@

Fin de la transmission.