15.9.06

DORS BIEN NICOLAS

En un clin d'oeil tout fut prêt pour exécuter l'idée de Gustave. Sur le camion à propulssion magnétique, la marchandise était fin prète. Les variétées, les senteurs, les textures, tout était catalogué, on se serrait crus dans les archives d'une école de propagande audiovisuelle. Ce camion, hélas reppartait vide, sinon emplie quelque pare d'un passager clandestin. Un de ces rares à faire le voyage vers le fournisseur, et non pas vers l'eldorado.
L'agent de controle des marchandise s'approchat du registre d'assurance de la cargaison.

- Gustave Ontario, vous aller à Néo-Spartiate ?
- Oui monsieurs, j'vais voir du pays.
Il sortit sa carte de citoyens que le controleur avait demander par un geste de la main sans même quitter du regard la liste minutieuse.

- Et vous rammenner quoi ?

- En accord avec le Ministere du Commerce Prospere, une cargaison d'algues Spartiates.

- D'accord, vous êtes en rêgles mais sachez...

- Oui je sais; aucune assurance ne me couvre en dehors de la ligne qui se trouve là.

A une centaine de mettre, un mur de brume cachait sur huit cent mettre le bouclier anti polution de la cité Ouékoumène. Des terres en friche on appercevait un dôme de six cent mettre d'altitude; une sphère protégant la citée sur douze kilomettre de diametre.

Le camion disparaissait dans la bruine.
Nicolas, dont seuls les yeux apparaissant dessinées par un raie de lumière due à un morceau d'algue luminécente, avec le reguard soutenu d'un évadé qui cherche le moyen d'oublier qu'il doit absolument évitter d'être attraper. Les sphères ovoides aux insinuation félines, déplorait doucement mais lourdement une inclinaison, une capitulation. La fatigue prenant ca et la par enclave sur son visage son empire docile, l'embrassa d'une chaleure qu'il n'avait encore découverte. Il avait enfin réussit quelque chose d'impossible.

DORS BIEN NICOLAS.