14.9.06

Douce nuit sur la bordure du ciel.

Nicolas était assis sur la grande terrasse. Devant lui, déjà et par milliers, les spectateurs s'installaient.
Il savait que demain serai un commencement d'une nouvelle aire.
Dans les bras du vent et de la nuit, Nicolas commencait à chanter.

Sur un air de mère patrie,
Ce n'est pas sans joie que je pris,
L'actuelle tendresse de notre fratrie,
Oh, merveille patriotique...

Sans un point d'honneur accorder à la nuit
Ni d'importance à son précursseur soleil
C'est cette étoile porteuse du terrible dilème
Qui nous fait marcher, et voir l'arc en ciel de l'espoir.

Nicolas pris son terminal et demanda à parler à Istratant, son mentore.
Lorsque celui-ci acceptat l'appel; il dit à Jérôme ces mots là:

Un jour, un commercant me demandait:

"Dis-moi? comment récolter sans avoir de remors ?"

Et à la bizarrerie de sa requette, je lui dit:

Avec la poussiere comme unique parfum
Nos pas ont des aires de champs labourés
Tandis que les travées sembles déséspérément boulversées

Avec les nuages comme seuls compagnons
Nos regards vers le ciel ont des vertiges fleurissants
Alors que le bleu semble terriblement étoilés

Avec la nuit comme compagne au calme
Nos rêves se focalises sur des dessins tachés d'erreurs
Alors que nos corps rêstent là, ensevelis par le repos
Nous stagnons dans ces songes ephémères
Ce sont nos chemin de traversse; nos propre detours à nous

Oh, doux souvenir du sommeil enfouit
C'est là que se trouve mon regard,
Lorsque c'est vers toi, oh ma vie, que je marche
C'est le chemin de soi...

La communication fût coupée.