15.9.06

Nicolas s'addonnait à la flannerie...

Dans les cagettes des standes d'algue du sud; les pancarte promulgant la fabrication d'origine slamuit était devenue un atoue commerciale. Les algues; danrées de plus en plus à la mode était l'embroisie, le nectare offere par Mercure aux privilégié citoyens de Ouékoumène. De cette herbe autrefoie interdite il faissaie, pudding, bain, masques, flan, sauces, et autre divertissement cullinaires.
La bonne vieille doctrine, n'avait jamis eu autant de sens. Si quelqu'un est près à payer quelque chose; fais lui payer le double du prix; si il accepte; tente de multiplier par 100 le prix et tu créera un marcher; d'autant plus si le produit est rare et à une origine exotique. Donc, les algues; effectivement procuraient au citoyens des vagues d'euphorie contenue; ils adoraient cela; surtout lors de metting sociale, ou bien de réunion d'entreprise. Car l'algue, de manirère générale, avait la qualité, de ne pas être repérée. C'était le nouveau chic de la nutrition extrat naturel. Par la, après les décades de polution; seule une agriculture léthale dominait le marché. Mais l'algue, éternelle génératrice de vie; avait les qualitées gustatives et nutritionelles des meilleurs flans façon grand-mère; il y en avait pour tout les gouts. Vanille, caffé, miel, rumsteak. Toutes les saveurs naturels et attrayantes avant trouver un substitut dont seul les SLAMUITS avait la recette.
Nicolas martchait entre les ettallages, frollant les cagettes, s'hummectant les odeure, se souvenant de son enfance et des senssation de l'algue fraiche. Vieux souvenir; plus proche du rêve que de la senssation synaptique expérimentée.
Incognito, mais toujour à l'affut, le jeune homme avancait avec sa lourde infamie; il devait constament se cacher le visage, persuader d'etre laid; et qui plus est expressivement significatif de la plus affirmée et igénue bettise. C'était là son seul "petit" complexe. Hilare à tout moment, ne sachant jamais se tenir face à des inconue; ni même devant des proches ou connaissances. Nicolas admettait son obsession avec la ferveur d'une none devant un éclaire au chocolat, se disant que c'était la dernière foie.

Gustave arrivait, comme chaque matin, avec deux heures de retard. Pour lui, il ne suffisait pas d'être là si tôt; il suffisait de se présenter au bon moment; le premier client portant toujour chance ou ombrage au commerce du jour; il ne voulait admettre d'horizon à sa proffession que dans son indépendence la plus totale. C'était une sorte d'idéaliste de la vente à l'éttallage.
Alors qui disposait sur les trotoir de zinc sa cargaison toute fraiche d'algues Spariate (la variétée la plus fine car la plus inconnue), Il appercu Nicolas, badinant quelques scènes de jeune homme en detresse.

- Oyé du trotoire, faite gaffe mon mec, à la potence de votre choix !
Bizarement, mais prestement, Nicolas ne pu s'empêcher de se détourner de ses obscures tortures vaniteuses.

- Vous avez quoi d'bo mon terroriste. Disait Nicolas sans même se rendre compte qu'il parlait à un contrebandier.

- Ola, du bateau, avant d'ammarré sur mes rive, va falloir que t'écoppe ton entonoire retractable.

Gustave n'aimait pas les inssinuation en publique. Même véridique, il ne voulait pas avoir l'aire d'un homme ordinaire cappable de commettre le pire.

- Ben jvoulais juste savoir c'qui vous...

- Stop mon ptit père, si tu veux parler cette langue adresse toi à tes compères citoyens, il ferrons semblant d'embouteiller ton argot en te faisant mousser ton contenu.

- Ok, comment vous parler alors. Nicolas ce sentait tout à coup le pouvoir de discutter avec cet homme. Il lui avait simplement fait comprendre qu'il était franc, cela en moins de trois minutes.

- Bon, tu veux quoi, tu veux macher, gobber, rumminer, digérer (c'est pas dis que t'y arrive ! ), ou bien tu veux simplement faire la finne gueulle et regarder sans être interrompue dans ton ignorance ptit fère.

- J'dirais qu'en fait, je cherche un moyen de contacter les SLAMUITS.

- Mais, c'est k't'es pas finot mon dindon, et en plus tu crois qu'en t'pointant sur tes s'melles de nano-casse moi l'cul tu vas m'embobinner! Non, non, non, tu joue pas dans ta cours mon gaillare. Si je peux me permettre mon gignole, la foire aux bidons vides c'est dans les frigo de la commission de conssomation.

- Nan, pardon, je cherche un moyen de partir quelques temps à Néo-Spartiate.

- Ben, en voila un qui veux prendre des ptite vacances près d'la mère. T'es comme Pollux toi, tu crois que ton père c'est un dieux; ce qui te donne tous les droits. Et tu't crois comme ton frero Castor, immortel. Ah, les jeunes, y sont trop con aujourd'hui, m'fin l'on toujours été.

- Pas exactement. Je doit retrouver quelqu'un.

Gustave commencait à toruver le jeune homme perssistant et ne voulant plus longtemt etre le dioptre défformant d'une requette vitale décidat simplement d'aider Nicolas.

- Et, si j'te mènne là bas, tu'm donne quoi en échange ragondin.

Nicolas baissat soudainement la tête fermement et en se rapprochant de l'homme tout en écrasant les algues qui éclatèrre sous la pression de ses coudest et dit:

- Je t'offre la chance de ne plus jamais avoir à faire le cardinale sur ton étallage, prince marchant !

Nicolas venait de rencontrer et de gagner un peu de l'estime d'un maitre marchant, roi de la contrebande entre Ouékoumène et Néo-Spartiate.